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TOUTES LES RAISONS DE CROIRE
Les mystiques
n°499

Espagne

1592 – 1665

Les évanouissements du cœur de Maria Angela Astorch

Née à Barcelone en 1592, Geronima Astorch (sœur Maria Angela en religion) devient orpheline à l’âge de cinq ans. Confiée au monastère des clarisses capucines de Barcelone (Espagne), où elle reçoit une éducation ample et solide, elle veut offrir sa vie à Dieu et commence son noviciat en 1608. Douée de charismes extraordinaires et de facultés humaines évidentes, elle est nommée maîtresse des novices du monastère de Saragosse, avant d’être élue abbesse en 1627. Elle fonde une nouvelle communauté à Murcie, où elle enseigne à ses sœurs l’importance de la dévotion eucharistique. Après sa mort, en décembre 1665, son corps reste entièrement préservé des dégradations naturelles.

© Shutterstock/Milkovasa
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Les raisons d'y croire :

  • Sa vie peut être recomposée – et même avec une grande profusion de détails – grâce à ses récits autobiographiques et à ses autres livres, toujours écrits à la demande de ses confesseurs. Il existe aussi des témoignages contemporains, ainsi que de la documentation issue de l’enquête pour sa canonisation, qui a été menée à Murcie peu après sa mort.
  • De nombreuses personnes ont constaté chez la religieuse une « science infuse singulière » qui lui permet de réciter des passages entiers de la Bible latine. Or, de cette langue, elle n’avait appris que des balbutiements lors de son noviciat.

  • Même en tenant compte de l’enseignement religieux dont elle a bénéficié au monastère, son entourage décrit chez sœur Maria Angela une faculté inexplicable pour comprendre et expliquer la Parole de Dieu. À ce sujet, l’évêque de Saragosse, Mgr Juan Martinez de Peralta († 1629), nomme une commission de cinq membres pour lui faire passer des tests draconiens portant sur la Bible et la patristique, qu’elle surmonte haut la main, suscitant ainsi à nouveau surprise et admiration.
  • Cette connaissance est d’autant plus étonnante qu’il lui est interdit pendant plusieurs années de posséder le moindre livre, y compris les ouvrages liturgiques. Elle a complètement obéi à cet ordre.
  • C’est en 1608, après avoir débuté son noviciat, que Dieu commence à la gratifier de charismes surnaturels. Favorisée d’extases mystiques, longues et fréquentes, elle n’est cependant jamais empêchée de poursuivre ses tâches quotidiennes, à l’instar de sainte Thérèse d’Avila. Ses chroniqueurs rapportent que ces ascensions mystiques ont pour origine la récitation de l’office divin, la lecture de la Bible ou le mystère eucharistique.
  • Ces événements sont gardés le plus possible secrets. Maria Angela garde le silence sur ses expériences mystiques car son but n’est absolument pas d’attirer l’attention. Ces épisodes ne lui font bénéficier d’aucune complaisance de la part des autres religieuses ou de ses supérieurs.
  • Les rares personnes tenues informées l’observent attentivement et finissent par conclure que ces événements ont le Ciel pour origine. En effet, Maria Angela est une religieuse exemplaire qui suit merveilleusement les règles de la vie communautaire, remplit ses devoirs avec perfection, prie sans cesse et fait preuve d’une grande charité envers tout le monde.
  • Dans ses écrits, il est indéniable que sa spiritualité a été déterminée par des événements singuliers : ces « évanouissements du cœur », ces « maladies de l’absence »… Les thèmes de ses contemplations y sont détaillés : les mystères de la vie du Christ, en particulier ceux de la Passion, ceux qui se réfèrent à l’être de Dieu, ses attributs et son immense amour.

  • Elle n’a pourtant rien d’une personne exaltée ou insensée. Elle remplit ses devoirs de maîtresse des novices puis d’abbesse avec l’intelligence, le sens des réalités et la prudence nécessaires.
  • En 1648, une épidémie dévaste la région. Devenue abbesse, mère Maria Angela se met à prier jour et nuit. Il n’y a aucune victime parmi les moniales, ce qui est humainement impossible, tant les victimes, à l’extérieur (hommes et animaux), se comptent par milliers.
  • Le 2 décembre 1665, malgré plusieurs mois de souffrances physiques provoquées par une maladie dégénérative, elle rend paisiblement son âme à Dieu, et ses sœurs sont alors frappées par la douceur de ses traits et la lumière de son visage.
  • La dernière exhumation canonique de son corps remonte à 1867 : à cette date, son corps est décrit comme totalement incorrompu.
  • Reconnue vénérable le 29 septembre 1850 par le pape Pie IX, elle est béatifiée par saint Jean-Paul II le 23 mai 1982.

Synthèse :

Née le 1er septembre 1592, Geronima Maria Ines Astorch est le quatrième enfant de Cristobal Astorch et de Catalina, son épouse, qui appartiennent tous les deux à la bourgeoisie aisée de Barcelone (Catalogne, Espagne). Mais Catalina, héritière d’une belle fortune, meurt prématurément en 1593. L’enfant est d’abord confiée à une nourrice à Sarria. Quatre ans plus tard, son père décède à son tour. Geronima reste quelque temps chez sa nourrice, puis est confiée aux sœurs clarisses capucines de Barcelone.

Elle y reçoit une bonne éducation intellectuelle et chrétienne. Ses qualités naturelles sont vite remarquées et on aime son goût pour la lecture et la contemplation.

À partir de 1603, elle sent que Dieu l’appelle à tout quitter pour lui. Elle a onze ans. C’est trop précoce. Les autorités ecclésiastiques la soumettent à un examen en règle organisé par les Jésuites. À l’issue des entretiens, leur avis est unanimement positif ; les pères présents soulignent la maturité anormale de la petite candidate. Le 16 septembre 1603, avant d’atteindre l’âge d’être reçue, la future bienheureuse entre dans le couvent des clarisses capucines à Barcelone, où sa sœur aînée, Isabel Astorch, a déjà pris le voile. Elle devient pour l’éternité sœur Maria Angela.

Au monastère, la vie est dure : ascétisme, austérité, longs offices liturgiques, de jour comme de nuit… Maria Angela s’adapte parfaitement, certaine que Dieu purifie les cœurs et les esprits par ces voies difficiles. Elle est spirituellement accompagnée par le prêtre aragonais Martin Garcia, qui a vécu un temps en ermite et est ouvertement opposé à l’activité livresque. Pour la jeune novice, c’est un arrachement. Alors qu’elle est entrée au monastère avec les six volumes du bréviaire en latin, tous ses livres lui sont retirés, y compris ceux rédigés en langue latine. Elle en souffre, mais elle tient bon. Son obéissance est absolue.

Le 7 septembre 1608, elle commence son noviciat sous la direction de sa sœur, sœur Isabel, tout juste nommée nouvelle maîtresse des novices. À partir de ce moment, Dieu commence à la gratifier régulièrement d’extases et de dons surnaturels. Quelques sœurs du couvent sont au courant, ce qui soulève des interrogations et des suspicions autour de la future bienheureuse. Mais celle-ci garde le silence sur ses expériences mystiques. Les rares personnes tenues informées l’observent attentivement : ces phénomènes viennent-ils de Dieu ou d’ailleurs ? On ne va pas tarder à savoir qu’ils ont le Ciel pour origine. Maria Angela est une religieuse exemplaire. Elle suit merveilleusement les règles de la vie communautaire, remplit ses devoirs avec perfection, prie sans cesse et fait preuve d’une grande charité envers tout le monde.

Bientôt, on lui confie à son tour la charge de maîtresse des novices. Le 15 décembre 1608, voyant sa mort approcher, mère Angela Serafina rassemble la communauté et propose l’admission de sœur Maria Angela à la profession religieuse. Le 8 septembre 1609, cette dernière fait profession comme capucine clarisse.

Édifiant par le style de vie des religieuses, le monastère de Barcelone devient alors un modèle de communauté cloîtrée. Le 19 mai 1614, six moniales, dont sœur Maria Angela, quittent Barcelone pour fonder un couvent à Saragosse, où elles parviennent le 24 mai suivant. Là, Maria Angela, en tant que maîtresse des novices, dispense aux nouvelles recrues un enseignement spirituel d’une immense qualité – enseignement fondé sur une maîtrise exceptionnelle des Évangiles et sur une connaissance incroyable de la tradition franciscaine en particulier.

L’un des fruits les plus célèbres de cette période reste son livret intitulé Pratique spirituelle pour les nouveaux novices– texte manifestant un discernement éblouissant, dans lequel elle fixe les critères psychologiques et moraux nécessaires aux futures moniales. À ses yeux, celles-ci doivent être orientées vers une piété concrète et accessible, dans le cadre de la liturgie de l’Église, en particulier l’Eucharistie. Un point mérite d’être particulièrement souligné : la bienheureuse refuse toute inégalité et toute distinction parmi les sœurs. Pour ce faire, elle n’autorise aucune référence aux origines sociales, quelles qu’elles soient. En 1623, elle se voit confier la formation des jeunes profès. Trois ans plus tard – elle a alors trente-trois ans –, tout en vivant une série de ravissements mystiques, elle est élue abbesse de Saragosse, avec une dispense d’âge, car la règle stipulait que les abbesses devaient avoir quarante ans révolus.

En sa qualité d’abbesse, elle accorde un soin particulier à la beauté des cérémonies communautaires, à la charité entre les religieuses et à leur bien-être spirituel et physique. Sa grande préoccupation de l’Eucharistie aboutit à l’autorisation pour tous les religieux de recevoir la communion quotidiennement. Elle incarne à elle seule un modèle d’équilibre spirituel et ascétique, tout en étant pragmatique et évangélique. Pour parfaire son œuvre législative, elle rédige de nouvelles constitutions que le pape Urbain VIII approuve en 1627. C’est ce texte qui régit désormais toutes les communautés de clarisses capucines qui ont été fondées par le couvent de Saragosse.

L’un de ses traits humains les plus frappants est son amour particulier pour la Catalogne, qu’elle appelle « ma patrie ». Dans les années de la guerre de la principauté (1640-1652), sa prière porte une intention particulière à ce sujet. En même temps, elle s’intéresse à tous les réfugiés qui arrivent à Saragosse, allant jusqu’à garder tous les vêtements des jeunes femmes qui entrent au couvent pour les donner à celles qui en ont besoin. Elle s’intéresse aussi à tous les événements de la guerre, dont elle a une connaissance singulière.

Maria Angela franchit une nouvelle étape en 1640, lorsqu’elle songe à bâtir un nouveau monastère à Murcie. Elle est aidée par son confesseur, Antonio Boxados, inquisiteur à Murcie, qui plaide la cause de ce projet devant maintes personnalités. Il obtient un décret royal, daté du 3 décembre 1644, autorisant l’érection du monastère de l’Exaltation-du-Saint-Sacrement. Un an plus tard, le 8 juin 1645, l’archevêque de Saragosse autorise le transfert de cinq religieuses à Murcie. Dès le lendemain, Maria Angela part avec quatre autres moniales pour Murcie, où elles arrivent après vingt et un jours de voyage. Le lendemain de leur entrée dans la ville a lieu l’inauguration du monastère. La bienheureuse vient d’apprendre qu’elle a été désignée abbesse de Murcie. « C’est une grande mortification de me voir abbesse et d’avoir à commander. Traiter avec les créatures est une violence continuelle pour mon esprit. » Elle a cinquante-trois ans.

Les mois suivants, la bienheureuse réalise un tour de force législatif et spirituel en prescrivant que, désormais, les sœurs converses, qui, jusque-là, ne portaient pas le voile noir des sœurs de chœur et n’avaient pas voix délibérative au chapitre conventuel, puissent jouir de ces prérogatives. On sollicite le Saint-Siège, qui est seul habilité à autoriser de tels changements normatifs. Le couvent de Murcie respectant parfaitement la pauvreté franciscaine, la bienheureuse obtient gain de cause. Les sœurs de Murcie doivent apprendre à avoir besoin des autres le moins possible, c’est-à-dire à vivre de leur travail personnel – innovation loin d’être partagée dans les communautés de l’époque ! Murcie va devenir le symbole vivant d’une alliance parfaite entre pauvreté extérieure et pauvreté intérieure, concrétisée par le travail manuel et la dépossession des biens matériels.

Le 14 octobre 1651, une inondation dévaste Murcie. Le monastère est gravement touché. Les religieuses sont contraintes de quitter le cloître et séjournent passagèrement dans une maison donnée par les Jésuites, sur la montagne de las Ermitas. Une seconde inondation, le 7 novembre 1653, les oblige à rester dans cet endroit. Mais, à force d’abnégation et de volonté, les moniales réalisent les travaux nécessaires et peuvent revenir dans leur couvent d’origine le 22 novembre 1654. Les qualités d’organisation et de gestion de la bienheureuse ont fait merveille. Dans les mois suivants, l’abbesse commence à ressentir des douleurs inhabituelles. Peu à peu, elle perd une partie de ses facultés physiques, puis cognitives. Elle souffre d’une maladie neurodégénérative qui la conduit au seuil de la mort. Le 21 novembre 1665, une attaque d’hémiplégie provoque un effet contraire à ce que les médecins observent en pareil cas : elle retrouve provisoirement l’usage de ses facultés mentales.

Elle meurt, consciente et en paix, après s’être confessée, le 2 décembre 1665, à l’âge de soixante-treize ans. La ville de Murcie se tourne rapidement vers la vénération du corps de celle que tout le monde proclame déjà sainte et, d’après le témoignage de ses compagnes, les miracles obtenus par son intercession commencent à se multiplier. Sa dépouille est malheureusement profanée en 1936 lors de la guerre civile espagnole. Le 29 septembre 1850, l’Église fait d’elle une vénérable de Dieu. Saint Jean-Paul II préside sa cérémonie de béatification le 23 mai 1982.

Patrick Sbalchiero, membre de l’Observatoire international des apparitions et des phénomènes mystiques.


Au-delà des raisons d'y croire :

Maria Angela est une figure spirituelle de premier plan du XVIIe siècle. Bien qu’appartenant à un ordre religieux différent, elle marche dans les pas de sainte Thérèse d’Avila et de saint Jean de la Croix, avec lesquels elle partage plusieurs qualités éminentes : aptitudes à l’organisation, à la gestion et à la formation des religieuses, volonté indestructible de vivre les vertus évangéliques sur un mode exceptionnel, expériences mystiques jalonnant le quotidien, désir de servir l’Église coûte que coûte, charité en action envers les plus pauvres.


Aller plus loin :

Sur le site Internet de l’Académie royale d’histoire espagnole, l’article « Beata Maria Angela Astorch » (en espagnol).


En savoir plus :

  • Lambert,« Astorch, vénérable, Maria Angela », dans Mgr Baudrillart (éd.), Dictionnaire d’histoire et de géographie ecclésiastiques, vol. IV, Paris, Letouzey et Ané, 1930, p. 1195-1999.
  • Silvini a Nadro, « Ven. Angela Maria Astorch, monialis OSC Capuccinarum (1592 – 1665) », dans Acta et decreta causarum beatificationis et canonizationis OFM Cap, Mediolani-Romae, Centro Studi Cappuccini Lombardi, 1964, p. 71-99.
  • Mi camino interior. Relatos autobiograficos. Cuentas de espiritu. Opusculos espirituales, Cartas, Ed. L. Iriarte, Madrid, 1985
  • V. Serra, « Nous documentssobre les caputxines Isabel i M. Angela Astorch », dans Catalunya. Francescana, 30 (1992), p. 59-61.
  • L. Lehmann, « Maria Angela Astorch (1592 – 1665) : Mystikerin des Breviers und der Tat », dans Wissenschaft und Weisheit, 63 (2000), p. 259-272.
  • Sur le site Internet Catholic Insight, l’article en anglais : « Blessed Maria Angela Astorch ».
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