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TOUTES LES RAISONS DE CROIRE
Histoires providentielles
n°166

France

1988

La découverte de Notre-Dame de France par Edmond Fricoteaux

L’aventure de la redécouverte et de l’installation de la statue monumentale de Notre-Dame de France à Baillet-en-France (95), le 15 octobre 1988 – qui a conduit au pèlerinage de prière des Vierges pèlerines (1995-2000), puis à la création de l’Association Marie de Nazareth (2001-2023) –, est née à la suite de la conversion surprenante d’Edmond Fricoteaux à Rome, en 1984, à l’issue de toute une série d’événements providentiels et de circonstances étonnantes.

Statue de Notre-Dame-de-France, par Roger de Villiers à Baillet-en-France (Val d'Oise). / © CC BY-SA 4.0
Statue de Notre-Dame-de-France, par Roger de Villiers à Baillet-en-France (Val d'Oise). / © CC BY-SA 4.0

Les raisons d'y croire :

  • Après sa conversion, Edmond Fricoteaux demande sur la tombe du père Lamy, ancien curé de La Courneuve, « un amour immodéré de Marie ». Sa prière sera exaucée : par la suite, l’énergie qu’il mettra au service de la Vierge Marie le conduira à lancer quantité d’initiatives étonnantes qui porteront de très beaux fruits.

  • Dans cet élan, la recherche d’une statue bien précise qu’il voulait offrir en cadeau à la Vierge (statue de sept mètres, avec l’Enfant Jésus et la couronne des douze étoiles), à installer à Baillet-en-France, proche de Paris, aboutira par une coïncidence extraordinaire à la découverte de l’existence de la statue monumentale de Notre-Dame de France, réalisée pour l’exposition universelle de 1937, qui avait exactement ces caractéristiques et qui devait également, selon le vœu du cardinal Verdier, être installée « sur une colline proche de Paris, pour faire pendant au Sacré-Cœur de Montmartre ».

  • À partir de l’installation de cette statue à Baillet-en-France, le 15 octobre 1988, toute une série d’événements providentiels se sont succédé, aboutissant notamment au projet des Vierges pèlerines, qui s’est déployé en France en 1995, puis dans 120 pays du monde, de 1996 à 2000, à la « nuit de la paix » de Bethléem lors du deux-millième Noël, en 1999, puis à la création de l’Association Marie de Nazareth, à la construction du Centre international Marie de Nazareth et à toutes les initiatives qui en sont nées, et dont nous reparlerons.
  • Edmond Fricoteaux, notaire à Saint-Denis, qui a inspiré tout cela, est parti trop vite, à 70 ans, le 5 novembre 2007, juste au moment où il allait prendre sa retraite, entouré de toute sa famille, sur un bateau en Martinique, dans des circonstances, elles aussi, très peu ordinaires : avant un coucher de soleil extraordinaire sur une mer d’huile que ses enfants n’oublieront jamais... L’émotion était à son comble le 9 novembre 2007 en la basilique des rois de France de Saint-Denis, qui était comble à l’occasion de la messe de ses funérailles.

Synthèse :

En avril 1984, Edmond Fricoteaux se rend à Rome, pour la première fois de sa vie, avec son épouse Françoise. Celle-ci accompagne, avec des sœurs ursulines de Paris, un groupe de jeunes filles, toutes élèves de troisième, qui, à l’appel du pape Jean-Paul Il, se rendent à un jubilé réunissant dans la ville éternelle, durant une semaine, jusqu’au dimanche des Rameaux, plusieurs dizaines de milliers de jeunes venus du monde entier.

Edmond n’est pas à proprement parler un passionné de Dieu. Avant le départ, il a demandé à son épouse s’il y aurait beaucoup de « bondieuseries » dans cette échappée italienne. Le premier jour, il ne prête aucune attention aux interventions « spirituelles » de la matinée, et tue le temps, durant l’homélie, en observant chaque détail architectural de la basilique Sainte-Marie-Majeure. L’après-midi, il participe joyeusement à la découverte de la Rome antique.

Le lendemain matin, de nouveau « cloîtré » avec les jeunes dans Sainte-Marie-Majeure, il voit sans enthousiasme un grand cardinal noir s’emparer du micro pour dispenser aux jeunes, assis à même le sol et tassés dans la belle basilique, une longue instruction. Il n’apporte à nouveau aucune attention à la longue homélie et continue, en promenant son regard, sa découverte des beautés de la basilique.

Le cardinal Gantin – car c’était lui – parle sans doute depuis une heure quand, soudain, Edmond est interpellé par un mot ou une phrase, dont il ne se souvient plus. Devenu attentif, il se met à écouter l’homme de Dieu et, durant dix minutes, lui prête une grande attention. C’est alors qu’il aperçoit une petite fille faisant un signe de croix sur sa poitrine et sortant d’un confessionnal voisin, tandis que deux enfants d’une douzaine d’années se sont levés pour, eux aussi, aller se confesser.

Sans comprendre ce qui le pousse ni ce qui lui arrive, Edmond, qui est demeuré debout, enjambe les filles et les garçons assis devant lui, écarte comme au rugby les deux gamins et prend la place du pénitent. Il n’a pas réfléchi. Il n’est sûrement pas là pour se confesser. Il en a depuis fort longtemps perdu l’habitude. Non, simplement, les paroles du cardinal l’ont soudainement réveillé d’un profond et long sommeil spirituel.

Après une conversation très profonde avec le prêtre, Edmond se confesse. Les choses vont maintenant beaucoup changer pour lui. Les homélies qu’il redoutait le captivent, et, durant les visites de Rome, l’après-midi, il réfléchit longuement aux enseignements du matin. Il rentre à Paris le lundi des Rameaux, « complètement assoiffé ». Homme très cartésien, il veut s’assurer avec certitude que Dieu existe, et il n’envisage de changer sa vie, axée sur la réussite matérielle, que si la réponse positive est fermement établie.

C’est dans ces premiers moments qu’il prend l’habitude de déclarer devant ses amis et relations, « grattant » la molette de son briquet pour faire jaillir la flamme un court instant : « Cette étincelle, c’est le temps de notre vie et j’ai été bien long, au regard de l’éternité... si l’éternité existe. »

Sa soif de certitude est si grande qu’il téléphone à sa mère, déjà âgée de 92 ans : « Maman, te souviens-tu... quand j’étais petit... tu me lisais de belles histoires des saints ou des apparitions de la Sainte Vierge... Les as-tu encore ? — Bien sûr, mon petit ! [Il a, à l’époque, 46 ans, mais on est toujours le petit de sa mère] Ces livres sont dans une caisse au grenier. »

Il ira d’abord en chercher douze. Il les dévore. Il retournera en prendre une quinzaine d’autres. Parmi ceux-ci, deux livres plus spécialement auront raison de ses dernières hésitations. Le premier est Le Père Lamy, prêtre et mystique, édité par les Serviteurs de Jésus et de Marie, à Ourscamps (60). Le second, qu’il aura beaucoup de mal à accepter tant il le trouve d’abord « inconsommable et incompréhensible » est Le Secret de Marie, de saint Louis-Marie Grignion de Montfort (édition de 1943).

La vie du père Lamy l’interpelle doublement. D’abord l’histoire, pleine de fraîcheur et de sainteté, d’un brave prêtre mort en 1931, surnommé « le curé d’Ars de la banlieue rouge », qui a longuement vécu à La Courneuve, où il est enterré, dans le petit cimetière de l’église Saint-Lucien. Ce prêtre avait très souvent des échanges verbaux et visuels avec son ange gardien, l’archange Gabriel, la Sainte Vierge et même le Christ.

Ensuite, il y a le fait qu’Edmond habite Saint-Denis, ville limitrophe de La Courneuve, dont il rencontre à l’Hôtel de Ville le sénateur-maire communiste, plusieurs fois par mois, pour des signatures et des actes notariés. À l’issue du premier rendez-vous qui suit, il s’arrête à l’église Saint-Lucien et entre dans le cimetière, bien décidé à y découvrir la tombe du père Lamy. Elle est au centre. Un buste en bronze du vieux prêtre en relève la pierre tombale. Edmond adresse avec une grande ferveur sa prière : « Père Lamy – vous de qui le Christ a dit un jour, en s’adressant à des saints qui l’accompagnaient : "Celui-ci est le protégé de ma Mère !" –, je ne vous demande pas cette distinction que je ne mérite pas, mais je vous demande, puisqu’elle vous aime, de faire naître en mon cœur un amour immodéré pour la Très Sainte Vierge Marie ! » Et désormais, à chaque signature, Edmond ira prier sur la tombe du père Lamy pour demander un amour immodéré pour Marie…

Sa prière est exaucée avec force et soudaineté. Son cœur est inondé d’amour pour l’Immaculée, comme un visage le serait par une pluie d’orage. Ce soir-là, il lira d’un trait durant plusieurs heures Le Secret de Marie, ponctuant sa lecture de larmes de joie et d’exclamations : « Que c’est beau, mon Dieu, que c’est beau ». Dès lors, il se donne à sa Souveraine : « avec, en, par et pour Marie », a dit Grignion de Montfort. Il entre de toutes ses forces spirituelles dans le secret de Marie, que désormais il ne quittera plus.

Ses visites sur la tombe du père Lamy se poursuivent et s’intensifient. Ayant remercié le bon prêtre pour la grâce reçue, il s’ouvre à lui d’un ardent désir conçu dans son âme : faire un cadeau à la Très Sainte Vierge. Mais quel cadeau ? Il attend du prêtre la réponse à cette nouvelle prière. Il lui semble que Dieu a un projet : faire édifier sur le bord d’un grand axe routier une statue monumentale à la gloire de sa Mère. Mais est-ce bien le projet de Dieu ? Edmond craint des élucubrations de son seul esprit. Dans sa prière, il interroge le père Lamy : si c’est bien le souhait de Dieu, il faut que ça « tambourine » dans son cerveau et qu’il n’y ait plus place pour une hésitation. La réponse est quasiment immédiate, et ce projet envahit son esprit jour et nuit.

Au retour d’un pèlerinage, la providence le place dans l’avion à côté du père René Laurentin, qui l’encourage et lui dit : « Il vous faut l’accord de l’évêque du diocèse concerné, le soutien d’une congrégation religieuse et – le plus important – la Vierge devra présenter l’Enfant. » L’évêque sera celui du diocèse de Pontoise. La congrégation sera celle des Serviteurs de Jésus et de Marie, de l’abbaye d’Ourscamps, dans l’Oise, créée par le père Lamy.

Reste la statue ! Edmond a une préférence très arrêtée. Ce sera celle de la rue du Bac, où il se rend très souvent pour prier : la Vierge aux rayons du maître-autel, qu’il trouve si belle, avec sa couronne de douze étoiles. Il rappelle le père Laurentin. L’évêque est d’accord, la congrégation aussi.

Et la statue ? « Je ne l’ai pas encore, mais je pense la faire faire par un sculpteur italien. Ce sera moins cher ! Surtout n’oubliez pas : il faut qu’elle ait l’Enfant ! » Edmond est chagriné. Il lui semble que la tête de l’Enfant pourrait cacher plusieurs étoiles... et il tient beaucoup à la couronne de Marie.

Le père Laurentin, étonné et pourtant spécialiste de la Sainte Vierge, n’a pas de réponse immédiate. A-t-elle ou non la couronne d’étoiles quand elle porte l’Enfant ? « Appelez à tel numéro monsieur Antoine Legrand. Il est "spécialiste des douze étoiles". Il vous dira... »

« Allo, bonjour Monsieur, le père Laurentin vient de me préciser que vous êtes le spécialiste des douze étoiles et...
— Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Je n’ai rien à voir avec les douze étoiles. Je suis chercheur scientifique sur le Linceul de Turin !
— Le père Laurentin se sera trompé. Excusez-moi, au revoir Monsieur.
— Non, non. Ne raccrochez pas. Je veux savoir pourquoi vous m’avez appelé.
— Ce sera long...
— Qu’importe ! 
»

Et Edmond se met à raconter tout ce qui précède.
« La statue existe, répond Antoine Legrand.
— Non, j’ai l’intention de la faire faire par des sculpteurs italiens.
— Je vous dis qu’elle existe !
— Je ne comprends pas...
— Elle s’appelle Notre-Dame de France. 
»

Antoine Legrand révèle alors à Edmond l’histoire de cette statue qui couronnait le pavillon pontifical lors de l’Exposition universelle de Paris, en 1937 – curieusement placé entre le pavillon russe, avec un énorme emblème de la faucille et du marteau, et le pavillon allemand avec une gigantesque croix gammée (deux nations qui ont bien fait souffrir la Sainte Vierge).

« L’histoire est belle, Monsieur Legrand, mais je crains fort que votre statue ne réponde pas aux nécessités !
— Quelles sont-elles ?
— Il faut qu’elle soit très grande.
— Combien vous faut-il ?
— Sept mètres.
— C’est exactement sa taille !
— Tant mieux, mais, voyez-vous, il reste quelque chose de très important.
— Quoi donc ?
— Il faut qu’elle ait l’Enfant.
— Elle a l’Enfant I Et non seulement elle l’a, mais elle le tient haut dans ses bras. Et lui a aussi les bras ouverts sur le monde et tient dans sa main droite un rameau d’olivier. C’est Notre-Dame de France, reine de la paix !
— Où est-elle ?
— Je ne sais pas. 
»

Durant plusieurs mois, Edmond Fricoteaux et Antoine Legrand vont unir leurs efforts pour retrouver la statue de Notre-Dame de France. Que s’était-il passé ? Le 2 novembre 1938, le journal La Croix publie un article : « Hier a eu lieu au pavillon pontifical, devenu pavillon marial, la cérémonie de clôture de l’année qui a vu la célébration du trois-cent-cinquantième anniversaire du vœu de Louis XIII, qui a donné la France à Marie. Le cardinal Verdier, qui présidait cette cérémonie, a déclaré devant la nombreuse assistance, et notamment les journalistes présents, qu’il formulait le vœu que la statue lumineuse – "Notre-Dame de France" –, qui a si magnifiquement couronné le pavillon pontifical devenu pavillon marial, maintenant livré à la pioche des démolisseurs, ne disparaisse pas, mais qu’elle soit érigée sur une colline proche de Paris... pour faire pendant au Sacré-Cœur de Montmartre ! »

Le cardinal choisit immédiatement le mont Valérien pour la réalisation de ce projet, et lance une souscription pour le réaliser. Mais, en plein succès, celle-ci s’arrête car, en 1939, la guerre éclate. En 1940, le cardinal rend son âme à Dieu et, en 1945, à la Libération, personne ne pense plus au vœu de Son Excellence le cardinal Verdier, archevêque de Paris !

Acharnés dans leurs recherches, Antoine Legrand et Edmond Fricoteaux la retrouvent... à Amiens, dans les sous-sols d’une école !

De nouveau, que s’était-il passé ? Tournon avait été l’architecte du pavillon pontifical. Son œuvre, comme nous venons de le voir, avait été démolie comme la plupart des pavillons de l’Exposition universelle de 1937, mais il en avait conservé les plans dans l’espoir de la reconstruire un jour. Le maire d’Amiens, voulant dédier une place de sa ville au physicien Édouard Branly qui y était né, avait fait rechercher sa famille pour assister à la cérémonie. Tournon, qui était le gendre de Branly, était présent avec sa fille.

Au cours du repas qui suivit, Tournon remercie le maire de l’honneur fait à son beau-père et lui dit que sur cette place, il verrait bien l’édification d’une église. C’est ainsi qu’est érigée quelques années plus tard, sur la place Branly, l’église Saint-Honoré, copie à peine tronquée du pavillon pontifical de l’Exposition de 1937. Tournon rapporte la statue de Notre-Dame de France, demeurée cachée durant la guerre dans un hangar, sur la colline de Saint-Cloud, et la place sur le clocher de l’église Saint-Honoré !

En 1982, sous le poids de la statue, des fissures importantes apparaissent dans la structure, conduisant le maire d’Amiens à la faire déposer en avril 1984, ce qui fait titrer au journal Le Courrier Picard : « À Amiens, la Sainte Vierge descend du ciel… ! ». Notre-Dame de France, du fait de sa taille, est d’abord placée au zoo d’Amiens, dans le pavillon des girafes, puis démontée (elle est faite de plaques de cuivre rivetées, comme fut faite la statue de la Liberté à New York), stockée dans les sous-sols d’une école de la ville.

Après une série de problèmes, tous résolus et de belle façon par la providence, et après deux mille heures de réparation d’un maître serrurier – monsieur Roland Quesnel de Corbie, dans la Somme –, la statue de Notre-Dame de France, Reine de la Paix, est installée en Plaine de France, au cœur de notre pays que la Sainte Vierge aime tant, à Baillet-en-France, premier village depuis Paris auquel est réservée cette appellation « en France », sur le bord de la route nationale 1.

Le site de « Notre-Dame de France » est situé à dix-huit kilomètres de Paris, entre Saint-Denis et Beauvais, dans la Plaine de France. L’accès est facile par la route (accès fléché), par le train (depuis la gare du Nord, arrêt à Bouffémont) et même en avion (aéroports de Roissy et du Bourget relativement proches...).

La cérémonie, particulièrement ensoleillée, le 15 octobre 1988, présidée par Son Excellence le cardinal Lustiger, archevêque de Paris, assisté de sept évêques, dont Mgr Rousset, évêque de Pontoise, et du nonce apostolique, et en présence de 52 000 fidèles venus de la France entière, fut magnifique et l’on sait par les milliers de lettres de témoignage reçues que les conversions et les retours à Dieu furent très nombreux. Il y eut environ 25 000 souscripteurs pour cette opération qui coûta plus de cinq millions de francs, cinquante ans presque jour pour jour après le vœu du cardinal Verdier.

Edmond était vraiment un apôtre de Marie. Après sa conversion, personne ne ressortait jamais de son étude sans avoir entendu parler de l’Immaculée…

Olivier Bonnassies


Au-delà des raisons d'y croire :

Le Secret de Marie, de saint Louis-Marie Grignion de Montfort, qu’il dit avoir reçu « du Très-Haut », mérite d’être connu et pratiqué.


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