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TOUTES LES RAISONS DE CROIRE
Les moines
n°404

Europe

1631 – 1699

Capucin thaumaturge, bienheureux Marc d’Aviano

Prédicateur capucin de la province vénitienne, Marc d’Aviano est l’une des principales personnalités du XVIIe siècle : invitant les foules comme les princes à la foi et à la pénitence, apôtre de la miséricorde divine, sa parole mystique est authentifiée de son vivant par les conversions qu’il obtient et les guérisons inexplicables qu’il opère. Conseiller de l’empereur Léopold Ier, à Vienne, il œuvre sans relâche pour la liberté des pays chrétiens contre l’envahisseur ottoman, ainsi que pour la paix et l’union entre les puissances catholiques. Il meurt entouré de la vénération de ses contemporains le 13 août 1699. Le pape Jean-Paul II l’élève au rang des bienheureux en 2003.

Jean III Sobieski repoussant les Turcs au siège de Vienne. Tableau de Jan Matejko exposé au musée du Vatican. / © Vatican Museums , Public domain, via Wikimedia Commons.
Jean III Sobieski repoussant les Turcs au siège de Vienne. Tableau de Jan Matejko exposé au musée du Vatican. / © Vatican Museums , Public domain, via Wikimedia Commons.

Les raisons d'y croire :

  • Rosa Zannone, mère du futur Marc d’Aviano, femme réputée peu crédule et réaliste, est intriguée par une lueur qui auréole le visage de son fils, couché dans son berceau. Après des expériences multipliées, elle doit convenir que le phénomène n’est pas dû à une cause naturelle. Ce sont sa vieille mère, Mariette Zannone et sœur Élisabeth, veuve du comte François Perro, qui témoigneront du récit de Rosa par une déposition juridique et sous la foi du serment.
  • Au couvent de Conegliano, après son noviciat, le frère Marc commence des études de philosophie et de théologie. Ses condisciples, toutefois, lui reprochent une certaine lenteur d’esprit, déjà constatée au collège de Goritz. Le futur prédicateur saura pourtant remplir auprès de plusieurs souverains et ambassadeurs et au sein de la première cour du monde des missions difficiles et délicates : preuve que la divine providence pallie elle-même les déficiences de ses serviteurs. Il apparaît ainsi avec plus d’évidence qu’ils n’agissent qu’en tant qu’ambassadeurs de Dieu.
  • Durant le carême, en 1665 à Vérone, le frère Marc prêche dans une église. Voulant réprimer l’inconduite sensuelle, il montre en opposition les souffrances que le Christ a voulu souffrir en son corps : tant de peines endurées volontairement témoignent de la gravité du péché en même temps que de son amour pour les hommes. Véhément, le frère Marc frappe si fort la chaire que le cruxifix se rompt : un des bras vient frapper un jeune homme connu pour ses débordements. Quelques instants après, c’est le second bras qui se détache à son tour pour aller désigner la jeune fille qui s’affichait en public comme la complice du jeune homme. Ce prodige bouleverse les deux jeunes gens qui se convertissent sincèrement et persévéreront dans leurs nouvelles résolutions. Il rend également célèbre celui qui en est l’instrument. Détestation du péché et confiance en la miséricorde divine, qui appelle au retour à Dieu, sont les deux traits de sa prédication.
  • Sœur Vincent Francesconi n’a pas pu assister au sermon donné au couvent de San Prosdocimo par le père Marc le jour de l’Assomption 1676, parce que sa maladie la retenait à l’infirmerie. Elle aimerait s’entretenir avec lui et l’entendre prêcher les gloires de la Madonne. Le père Marc est invité de nouveau pour le sermon de la Nativité de Marie, le 8 septembre. La sœur Vincent, qui a pu entendre ce sermon, fait ensuite part de son tourment au prédicateur : elle se sait à charge de sa communauté, sa maladie l’empêchant de suivre la vie commune et d’assister aux offices solennels qui faisaient sa joie autrefois. Ému, le père Marc invite la religieuse à réciter avec lui les litanies de la Sainte Vierge, auxquelles répond toute la communauté, qui est présente à l’entretien. Après avoir béni la religieuse, qui est paralysée depuis treize années et qui, depuis, n’a pas quitté son fauteuil, cette dernière s’écrie : « Je suis guérie ! » Et pour le prouver, sur l’injonction du père Marc, elle monte avec célérité et facilité l’escalier et le descend de même.

  • La famille de cette religieuse, les Francesconi, est célèbre dans la ville de Padoue. La guérison extraordinaire de sœur Vincent connaît un très grand retentissement, au point que de nombreux malades viennent implorer le père Marc, qui les guérit.
  • La réputation de thaumaturge du père Marc, de Padoue, gagne Venise. Une religieuse patricienne du monastère Saint-Zacharie, sœur Anne-Marie Dolfin, était presque réduite à l’état de cadavre. Seul un léger souffle prouvait que la vie n’avait pas encore quitté des membres inertes et un corps tantôt glacé, tantôt brûlant de fièvres continuelles. Au parloir où on l’a portée, le père Marc avive en elle la contrition et la confiance en Dieu, puis lui donne la bénédiction. Une intense vie s’empare aussitôt de ce qui semblait être une dépouille. Plus de fièvre ni de douleur. La voix pourtant reste sourde – la religieuse souffrait d’une inflammation continuelle de la gorge. Sœur Anne-Marie ne s’en tient pas là : elle fait rappeler le capucin, qui s’est enfui pour échapper aux ovations, et lui demande de compléter son œuvre. Souriant, il lui demande de parler haut, puis disparaît de nouveau pour ne pas avoir à entendre les cris de joie de la miraculée. Un procès-verbal est dressé le lendemain, que signent la mère abbesse, le médecin et l’intéressée.
  • L’on peut citer encore un très grand nombre de miracles accomplis par le père Marc. Le père Fidèle de Zara en a dressé la liste, à partir des procès-verbaux que le père Côme de Villafranca, compagnon du bienheureux, a rédigés de son vivant même, à la demande du père provincial de Venise. Ces procès-verbaux sont étayés par des enquêtes préliminaires, étendues et approfondies. Ils sont signés souvent à la fois par les autorités civiles et religieuses, en plus de porter les paraphes des témoins qui ont déposé. Ils ont été établis sur les lieux et le lendemain des événements, évitant ainsi tout risque d’erreur ou de tromperie : les témoins sont tous encore présents, et les récits de chacun peuvent être confrontés les uns aux autres.
  • Le père Marc attribue les miracles qu’il opère à la foi des fidèles, ainsi qu’à la grâce du sacerdoce dont il est dépositaire pour le bien de tous. Il se sert pour ce faire de la formule de bénédiction : « Jésus ! Marie ! Que le Seigneur te bénisse et te garde ! Qu'il te montre son visage et ait pitié de toi ! Qu'il tourne sa face vers toi et te donne la paix ! Que Dieu te bénisse et te délivre de tous tes maux, car si tu peux croire, toutes choses sont possibles à celui qui croit. Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Ainsi-soit-il ! »

Synthèse :

Le 17 novembre 1631 naît à Aviano, dans la république de Venise, Charles-Dominique, dans une famille aisée du bourg d’Aviano, dans le Frioul, les Cristofori. Vive piété, charité envers les pauvres et pureté des sentiments sont les traits de l’enfant. Son premier biographe, le père Côme de Castelfranco, écrit de lui : « La piété, qui fut pendant vingt ans son inséparable compagnon et le confident de ses plus secrètes pensées, était innée en cet enfant... Si vive était sa compassion pour les petits pauvres qu’il se privait des douceurs dont on le comblait pour les leur donner. Rien n’égalait l’horreur que lui inspirait le péché, si ce n’est peut-être son amour instinctif pour la pureté et le soin avec lequel il fuyait tout ce qui... aurait pu la blesser. Je puis attester, moi, qui à diverses reprises ai entendu sa confession générale, que jamais il ne perdit la grâce de Dieu, et qu’il est entré dans l’éternité avec son innocence baptismale. »

Une éducation et une instruction complète et soignée, reçues d’abord au collège des pères jésuites de la ville de Goritz, le préparent aux missions diplomatiques qu’il recevra plus tard. Bien qu’apprécié de ses maîtres au collège pour ses mœurs affables, l’adolescent est timide et son apprentissage est moins aisé que celui de nombre de ses camarades. Il s’imagine que la vie du collège n’est pas faite pour lui et, comme sainte Thérèse d’Avila avant lui, ou encore comme saint François d’Assise, part à pied pour s’en aller vers les terres des Maures, afin de tâcher d’amener à Jésus-Christ ceux qu’il rencontrerait et, s’il n’y parvenait pas, à y subir le martyre. C’est là le résultat d’une crise d’âme, que le père gardien du couvent capucin de Vicence, à qui le garçon avait demandé l’hospitalité au bout de deux jours de marche, sut apaiser par son conseil affectueux et judicieux. Ce séjour inopiné chez les capucins, l’affection que sa famille entretient à l’égard de l’ordre, et le dénuement contemplatif qui règne dans les couvents réformés poussent Charles-Dominique à demander d’y être admis. Il revêt la bure franciscaine et reçoit le nom de Marc le 21 novembre 1648.

Humble devant Dieu et modeste aux yeux des hommes, le jeune religieux craint que sa santé chétive et sa maladresse naturelle (il semble inapte à bien des emplois matériels) ne soient le signe qu’il n’est pas fait pour cet ordre, où il trouve pourtant la paix et la joie. Il s’attache à la règle comme le navigateur à l'amer qui le guide vers le port. Le père maître des novices, qui lit en son âme, le rassure, et le frère Marc fait profession solennelle le 21 novembre 1649, en la fête de la Présentation au Temple de la Vierge Marie. En 1655, il est ordonné prêtre à Chioggia.

Une telle exactitude dans l’observation des coutumes et de la règle lui vaut la confiance de ses supérieurs, qui lui confient en 1670 la charge de « gardien » – c’est-à-dire supérieur – du couvent de Belluno. Il le sera deux ans plus tard du couvent d’Oderzo. Le terme que les capucins emploient pour désigner le supérieur est explicite : le gardien est à la tête de sa communauté pour entraîner par son exemple, plus encore que par ses exhortations, à la pratique de la règle pour témoigner ainsi au Sauveur combien il est aimé. Le père Fidèle de Zara écrit à ce propos, au sujet du père Marc : « La parole et l’action, qui sont les deux points cardinaux du gouvernement des âmes, venaient harmonieusement à leur place et sans l’inversion qu’on voit quelquefois chez ceux qui parlent avant d’agir. Comme un capitaine à la tête de ses troupes, il paraissait être là non point tant pour commander que pour se trouver avec ses soldats dans l’action. C’est ainsi qu’on le voyait devancer tous ses frères à la psalmodie, à l’oraison mentale, à toutes les observances de jour et de nuit. Le premier, il prenait sa part des humbles emplois et des travaux manuels ; le premier, il accourrait pour accueillir les religieux de passage, les saluer et leur laver les pieds, à l’exemple du Christ, qui rendit à ses apôtres ce devoir de charité. » C’est par la bonté qu’il gagne les cœurs de ses religieux.

Mais le silence et la vie contemplative lui manquent. Il demande à être déchargé de son office. Le père général accepte et l’envoie au couvent de Padoue, où le père Marc mène une vie d’austérité et de prières continuelles : son jeûne est presque permanent, et il ne prend que trois heures de sommeil, qu’il passe étendu sur un sac de paille très dur. Ne voulant garder les bienfaits de Dieu pour lui, il déclare en ses prêches une guerre au péché mortel, mais exhorte avec bonté les pécheurs à avoir confiance en la miséricorde de Dieu ; il chasse les démons des possédés qui ont recours à lui et guérit nombre de malades qui implorent sa charité. Il fait toujours précéder la bénédiction qu’il donne de la récitation par l’impétrant de l’acte de contrition, montrant ainsi que la condition sine qua non pour demander à la bonté divine un miracle est la confession du regret de l’avoir offensée et de l’assurance de ne plus recommencer ! Le père Marc prolonge l’influence de ses prédications par la rédaction d’opuscules qui dénoncent le péché. Ce sont : L’Anatomie du mal suprême (il y décrit ce qu’est le péché mortel), Flammes d’amour, dans lequel l’auteur propose en modèle à tous le cœur chrétien épris de la bonté et des perfections de Dieu, ou encore Dévote oraison de la Très Sainte Vierge, en lequel il rend grâces à la Sainte Trinité pour les privilèges qu’elle a accordés à Marie. De nombreux sermons ont été conservés de lui.

Sa réputation parvient à la connaissance du duc de Lorraine, Charles V, beau-frère de l’empereur du Saint-Empire, Léopold Ier, et gouverneur du Tyrol. Ce prince avait épousé la propre sœur de l’empereur, veuve sans enfant du roi de Pologne Michel Koributh. Craignant que sa seconde union ne soit stérile également, elle s’était recommandée aux prières du père Marc. Neuf mois après la date arrêtée, à laquelle son chambellan vient assister à Venise à la prière que le religieux prononce en privé à l’intention de la duchesse, cette dernière met au monde l’héritier de la maison de Lorraine. On veut remercier le bienfaiteur : malgré son désir de vie cachée, il se met en route pour la cour d’Innsbruck. Son voyage est parsemé de miracles qu’il accomplit à la demande des foules qui se pressent sur son passage. Quand il est introduit devant le duc, malgré la confusion du religieux devant le geste du prince, ce dernier se prosterne devant lui en reconnaissance. D’autres bienfaits viendront s’ajouter à ce premier, qui rendront le duc plus encore débiteur des bontés du Ciel transmises par l’humble religieux : la guérison d’une infirmité à la jambe, consécutive à un accident, et surtout une direction spirituelle qui touche la vie personnelle du duc, mais aussi son gouvernement, car le prince veut demander conseil au capucin en toutes choses. C’est à son tour l’empereur Léopold qui réclame le père Marc et entretient à partir de 1680 une correspondance avec lui. Il l’appelle son « ange tutélaire », le prend pour directeur d’âme et l’associe, comme Richelieu fit avec le père Joseph du Tremblay, au fardeau du gouvernement de l’Empire. Le religieux se montrera, en cette entreprise, d’un dévouement sans limite car, si l’empereur l’écoute toujours, il reste souvent irrésolu et pusillanime dans les mesures à prendre.

Quand le Grand Vizir Kara Mustafa assiège Vienne, c’est le père Marc qui parvient à convaincre le roi de Pologne, Jean Sobieski, de se mettre à la tête de ses hommes pour venir au secours de l’Empire. Sans son intervention, Vienne assiégée serait tombée. C’est encore lui qui célèbre la messe devant l’armée tout entière, le 6 septembre. Il prêche aux différents régiments et encourage les soldats à se repentir de leurs fautes. Le 8, la sainte communion est proposée à tous. Le dimanche 12, c’est la bataille. Le père Marc parcourt les rangs à cheval et semble partout à la fois, surtout aux points où l’action est la plus vive. Il bénit, exhorte et prie sans cesse, le crucifix à la main, répétant ces mots de la sainte liturgie : « Voici la croix du Seigneur. Hordes ennemies, fuyez ! »

À la suite de la victoire du 12 septembre 1683, qui a délivré la capitale de l’Empire de la menace ottomane, le pape Innocent XI demande au père Marc d’user de son crédit auprès des cours européennes pour tâcher de former la Sainte Ligue. C’est une coalition composée du Saint-Empire, de la république des Deux Nations (État formé alors par l’union du royaume de Pologne et du grand-duché de Lituanie) et de la république de Venise. Le pape veut que les nations catholiques unissent leurs efforts pour repousser l’expansion ottomane en Europe. La coalition est formée le 5 mars 1684 à Linz, et sera rejointe par le tsarat de Russie en 1686. Les armées ottomanes seront peu à peu repoussées et la coalition, ayant atteint plusieurs de ses objectifs, sera dissoute le 26 janvier 1699 par le traité de Karlowitz. Le père Marc d’Aviano meurt le 13 août suivant, d’une tumeur. L’empereur et l’impératrice sont à son chevet. Il est inhumé dans la crypte du couvent des capucins de Vienne, sépulture de la maison impériale.

Le pape Jean-Paul II béatifie le père Marc d’Aviano le 27 avril 2003.

Docteur en philosophie, Vincent-Marie Thomas est prêtre.


Aller plus loin :

Louis-Antoine de Porrentruy et Ernest-Marie de Beaulieu, o.f.m. cap., Le vénérable P. Marc d’Aviano, capucin : apôtre, diplomate et guerrier, Toulouse, Voix franciscaines, 1921. Disponible en ligne.


En savoir plus :

  • Jean-Paul II, « Homélie à l’occasion de la chapelle papale pour la béatification de six serviteurs de Dieu », le dimanche de Pâques 27 avril 2033. Disponible en ligne.
  • Ruggero Simonato (dir.), Marco d’Aviano e il suo tempo. Un cappuccino del Seicento, gli Ottomani e l’Impero. Atti del convegno storico internazionale (Pordenone, 12-13 novembre 1993), Pordenone, Ed. Concordia Sette, 1994.
  • L’article de la revue catholica : « Un champion de l’Europe chrétienne, Marc d’Aviano ».
  • Le site des capucins de la Province d’Australie présente une brève biographie du bienheureux (en anglais), ainsi qu’un extrait des Flammes du divin amour.
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