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Les visionnaires
n°538

Quito (Équateur)

1563 – 1635

Les prédictions précises et exactes de la Vierge Marie à mère Mariana de Jesus Torres au sujet de l’Équateur

Née en Espagne, la jeune Mariana s’embarque pour l’Amérique latine en 1576 avec sa tante religieuse pour fonder le couvent de Quito (en actuel Équateur), où elle passera toute sa vie. La vie de mère Mariana, depuis son enfance (et probablement même depuis son plus jeune âge, mais elle est restée discrète sur ses tendres années) est une suite de communications réciproques avec le monde du Ciel. De nombreux témoins, à d’innombrables reprises, ont assuré la véracité de cette vie mystique : tous ont pu constater les phénomènes. Le procès en béatification de mère Mariana est ouvert en 1986.

© Shutterstock/ArtMari
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Les raisons d'y croire :

  • Par sept fois, la Vierge Marie apparaît à sœur Mariana. L’une de ces apparitions a lieu le 17 septembre 1588, alors que sœur Mariana est en train de réciter les prières de minuit. Un frisson très violent ébranle son corps, lui arrachant un cri de douleur. Elle est transportée sur son lit, et l’on découvre que ses mains et ses pieds présentent des blessures profondes, et qu’à son côté s’ouvre une plaie semblable à celle causée par un coup d’épée. Le médecin la trouve le lendemain sans forces et le corps paralysé.
  • Une année de souffrances s’écoule. Le second mercredi du mois de septembre 1589, à neuf heures du matin, commence son agonie. Elle reçoit les derniers sacrements. Elle rend son dernier soupir le vendredi, à trois heures et demie de l’après-midi. Ses funérailles sont prévues pour le lundi suivant, mais le dimanche, bien avant l’aube, comme le Christ qui ressuscite le jour de Pâques, les religieuses découvrent avec stupéfaction, en se rendant à l’office, sœur Mariana présente dans le chœur, qui prie.
  • Le 16 janvier 1599, la Sainte Vierge annonce à mère Mariana que la colonie espagnole s’émancipera et prendra le nom d’Équateur : la République d’Équateur sera de fait fondée le 19 août 1809 (mais onze années de guerre civile s’ensuivront). Si une telle prophétie, depuis la décolonisation des années 1950-1960, peut aujourd’hui paraître banale, c’est tout le contraire à l’époque moderne : c’est une affirmation invraisemblable tant du point de vue des faits (le pouvoir espagnol est bien implanté) que du point de vue des idées, parce que radicalement révolutionnaire.
  • Puis, la Vierge Marie ajoute : « Au XIXe siècle, il y aura un vrai président chrétien, un homme de caractère auquel Dieu donnera la palme du martyre sur la place adjacente à mon couvent. Il consacrera la République au Sacré Cœur de mon Très Saint Fils et cette consécration soutiendra la religion catholique dans les années qui suivront ; années qui seront funestes pour l’Église. » Ces prophéties très précises s’accompliront : Garcia Moreno sera ce président qui, par des mesures prudentes et courageuses durant ses mandats successifs, de 1861 à 1865 et de 1869 à 1875, rendra la prospérité à l’Équateur et consacrera le pays au Sacré Cœur en 1873. Il sera assassiné dans les conditions annoncées le 6 août 1875.

  • Le 21 janvier 1610, Notre Dame se présente à nouveau à mère Mariana. Dans une lumière éblouissante, précédée des archanges Gabriel, Michel et Raphaël, qui préparent l’intelligence et le cœur de la religieuse à la visite de la Mère de Dieu, cette dernière lui dit : « Je t’apprends qu’à partir de la fin du XIXe siècle, dans ce qui est aujourd’hui la colonie et qui sera un jour la République de l’Équateur, exploseront les passions et il y aura une totale corruption des mœurs, car Satan régnera presque complètement au moyen des sectes maçonniques. Celles-là se concentreront principalement sur les enfants pour maintenir cette corruption générale. Malheur aux enfants de cette époque ! » La Vierge Marie explique qu’il sera difficile de recevoir les sacrements du baptême, de la confession et de la communion, que des hosties consacrées seront profanées, etc. Ces persécutions sont bien connues des historiens de l’Amérique centrale de la fin du XIXe siècle, et décrites par exemple par Augustin Berthe dans sa biographie de Garcia Moreno.

  • La Vierge Marie ajoute que les effets de l’éducation séculière seront une des raisons de l’extinction en Équateur à la fin du XIXe siècle des vocations sacerdotales et religieuses : le sacrement de l’ordre sera tourné en dérision. Des prêtres corrompus donneront une image erronée de l’Église et seront occasion de scandale. Les bons prêtres souffriront. Le vicaire du Christ sera « prisonnier au Vatican ». En 1623, mère Mariana voit de nouveau ces malheurs annoncés, alors qu’elle est en extase dans l’église. Or, toutes ces prophéties se sont réalisées. À la suite de la révolution italienne, Pie IX et ses successeurs se sont considérés comme prisonniers au Vatican, jusqu’aux accords du Latran de 1929. Cette dernière prophétie sera renouvelée lors de la dernière apparition de la Sainte Vierge, le 8 décembre 1634.

  • À cette même occasion, le 8 décembre 1634, Marie prévoit aussi le dogme de l’infaillibilité pontificale (c’est-à-dire l’assistance divine spéciale qui permet au souverain pontife de ne pas se tromper lorsqu’il définit solennellement en matière de foi ou de mœurs un article de foi dont la croyance est nécessaire au salut), qui sera proclamé au concile Vatican I en 1870.
  • Notre Dame prédit aussi la proclamation du dogme de l’Immaculée Conception (la Vierge Marie n’a pas été blessée par la tache du péché originel) : c’est chose faite en 1854.
  • Les mœurs de mère Mariana sont conformes à sa familiarité avec les choses divines. Sa charité à l’égard des religieuses rebelles qui l’ont persécutée jusqu’à l’emprisonner, particulièrement à l’égard de mère Maddalena, qui était à leur tête et fut élue abbesse à sa suite en 1595, fut en effet constatée par toutes les sœurs. Lorsque mère Maddalena tombe malade, en 1601, mère Mariana la soigne elle-même, jusqu’à son décès qui advient cinq ans plus tard.

Synthèse :

Dans la province basque de Viscaya, en 1563, naît Mariana Francisca de Jesus Torres y Berriochoa. C’est la première fille de Diego Torres et Maria Berriochoa, pieux catholiques. Son enfance est vertueuse et pieuse, comme pour beaucoup d’enfants de son âge, mais l’intimité avec Jésus-Christ, accompagnée de rares grâces mystiques, commence tôt chez elle. Elle fait sa première communion à neuf ans, après que Jésus-Christ présent au tabernacle l’a invitée à le recevoir. Elle voit peu après Marie Immaculée, qui s’adresse à elle pour l’engager à sa suite, dans la congrégation de l’Immaculée Conception. Puis le Père éternel bénit l’union entre Mariana et son Fils. Quand le roi Philippe II décrète en 1576 la fondation du couvent royal de l’Immaculée Conception, à Quito, Mariana comprend que c’est là que son Époux divin l’attend. Le Christ le lui confirme lui-même.

Le roi Philippe place à la tête du futur couvent une de ses parentes, tante de Mariana, mère Maria de Jesus Taboada. Le départ se fait en 1576.

Le 8 septembre 1577, à l’âge de quatorze ans, la jeune Mariana Torres entre au noviciat du couvent de Quito, dans lequel elle réside déjà depuis deux ans comme élève – pratique assez courante à l’époque, qui ne signifie pas que l’enfant est pour autant destiné à devenir religieux. Mais dans son cas, Mariana sait déjà qu’elle se consacrera au Christ en ce monastère. Après deux années qui ont permis d’éprouver sa vocation, elle prononce ses vœux devant la mère abbesse, mère Maria, le 4 octobre 1579. À peine énoncée la formule rituelle, la jeune religieuse est ravie en extase. Elle entend le Père éternel répéter les paroles prononcées par sa tante : « Si tu es fidèle en cela, je te promets la vie éternelle» Puis Jésus-Christ apparaît à ses yeux, qui lui passe à l’annulaire de sa main droite un anneau orné de quatre pierres précieuses, sur chacune desquelles est inscrit l’un des quatre vœux : pauvreté, obéissance, chasteté et clôture. Il lui explique : « Mon épouse, je désire pour toi une vie d’immolation. Ta vie sera un continuel martyre. »

En 1582, alors qu’elle prie dans le chœur de l’église conventuelle, près du tabernacle, sœur Mariana entend un grondement effrayant, et l’obscurité envahit l’église. Elle sent de la poussière et de la fumée. Puis l’autel s’éclaire et le Christ en croix, entouré de sa mère, de saint Jean et de sainte Marie-Madeleine, paraît dans le tabernacle. La religieuse s’accuse aussitôt, se prostrant à terre, d’être la cause du châtiment qu’elle pressent. Mais son ange gardien la relève et la rassure. Elle interroge alors Notre-Dame : cette dernière lui répond que ce sont les fautes du monde criminel qui sont la cause de sa tristesse. La voix du Père se fait enfin entendre, qui lui apprend que le châtiment arriverait au XXe siècle.

À la suite de cette vision, trois épées lui apparaissent au-dessus de la tête du Christ agonisant. Chacune porte une phrase écrite : « Je punirai l’hérésie », « Je punirai l’impiété » et « Je punirai l’impureté ». Sœur Mariana comprend que ces châtiments sont ceux annoncés par la voix du Père céleste. Alors, à la question de la Vierge Marie : « Ma fille, veux-tu te sacrifier pour les hommes de cette époque ? » « Oui, je le veux ! », répond sœur Mariana. Les trois épées transpercent ensuite le cœur de la jeune religieuse, la plongeant dans un état de mort mystique.

Comme éteinte à ses sens et privée du mouvement corporel, mais bien consciente au plan intellectuel et volontaire, elle paraît devant le jugement de Dieu. Jésus-Christ lui présente deux couronnes : l’une d’une beauté indescriptible figurant la gloire immortelle du paradis, l’autre de lys blancs entourés d’épines. Cette dernière symbolise son retour sur terre, pour souffrir comme victime sacrificielle afin d’apaiser la justice divine bafouée par les hérésies, les impiétés et les impuretés qui seraient commises au XXe siècle. Puis : « Mon épouse, choisis l’une de ces couronnes. » La religieuse, confortée par l’assurance de l’aide maternelle de Notre Dame, demande la seconde couronne. Elle devient ainsi une victime expiatoire pour les péchés de notre temps.

La Vierge Marie apparaît par la suite individuellement à cinq reprises à sœur Mariana. Nous avons rapporté la première de ces visites, qui se déroule en 1588. Les suivantes se produisent après la mort de mère Maria.

En 1592, en effet, la mère abbesse tombe malade. Incapable de remplir sa charge, sœur Mariana est élue pour lui succéder. À la mort de l’ancienne abbesse, l’année suivante, des religieuses animées d’un esprit de rébellion complotent pour que la juridiction du couvent soit transférée des Frères mineurs à l’évêque de Quito. Les procès continuels qui s’ensuivent dans le couvent entre les religieuses minent le cœur de la jeune abbesse. Le 2 février 1594, alors qu’elle prie pour que la concorde revienne, elle voit en face d’elle une dame merveilleuse qui porte l’Enfant Jésus. Cette dame lui demande de s’offrir en expiation des fautes de ses consœurs. Mère Mariana s’exécute avec une joie surnaturelle. Elle est exaucée peu après : les sœurs rebelles s’opposent à sa réélection. La nouvelle abbesse, chef du parti qui veut mitiger la règle conventuelle, obtient que le couvent passe sous la juridiction épiscopale. Mère Mariana et les religieuses restées fidèles à l’esprit de la congrégation sont calomniées, poursuivies en justice et à plusieurs reprises enfermées dans la prison du monastère.

C’est là que Notre-Dame choisit d’apparaître de nouveau, le 16 janvier 1599. La belle dame se présente sous le nom de « Marie du Bon Succès ». Elle assure à mère Mariana que les tribulations qu’elle supporte, elle et ses consœurs fidèles, participent à retenir la colère divine non seulement contre les péchés actuels des habitants de la colonie, mais encore contre ceux commis après son indépendance (cette dernière sera obtenue effectivement en 1820).

C’est aussi en 1599 que l’évêque de Quito, après avoir diligenté une enquête sur les dissensions arrivées au couvent, rétablit de fait mère Mariana à la tête du monastère au titre de mère fondatrice, lui soumettant l’abbesse.

Le 21 janvier 1610, la Vierge Marie apparaît pour la quatrième fois à mère Mariana. Elle lui annonce les persécutions du XIXe siècle et réitère ce message le 2 février 1634. Puis, Notre Dame donne à mère Mariana la vision de ce qu’elle lui a annoncé intellectuellement. Sous le coup, la religieuse s’évanouit, reste comme morte pendant deux jours, puis se réveille. C’est sa dernière année ici-bas.

Le 2 novembre 1634, après avoir reçu la sainte communion à la messe, Jésus-Christ couvert de blessures se fait voir à mère Mariana, et lui apprend, à sa question, que ce sont les péchés des peuples et plus particulièrement des religieux et des prêtres qui l’ont défiguré à ce point et lui causent tant de terribles souffrances : ils agissent comme si j’étais un étranger pour eux, regrette-t-il amèrement. Mère Mariana voit en effet son divin cœur couronné d’épines. Le Christ lui demande alors, ainsi qu’à ses filles, consolation et réparation, prière auprès de son divin sacrement au tabernacle et expiation.

Après quinze jours, pendant lesquels son état s’aggrave rapidement, mère Mariana reçoit les derniers sacrements en présence de l’évêque. Elle fait alors rassembler ses sœurs et lire son testament. Elle s’offre une dernière fois à son époux divin : « Mon bien-aimé, ouvrez-moi les portes de votre Royaume comme un jour vous m’avez ouvert les portes bénies du cloître de ma Mère Immaculée, où je me suis sanctifiée et où j’ai accompli votre sainte volonté sous votre regard. Regardez-moi ici, épuisée par le dur exil de la vie mortelle lorsque je souffrais en silence et pour votre amour toutes les privations et les misères que vous m’envoyiez. La route a été longue, mais finalement je suis arrivée au but. Ouvrez-moi vos bras et permettez-moi de me reposer de mes fatigues, et de poser ma tête sur le feu ardent de votre Cœur divin... Je viens avec impatience prendre possession de l’éternité bénie que vous m’avez promise, ou je vivrai sous le manteau de ma Mère Immaculée et en compagnie de mon père, François d’Assise. » C’est le prélude de l’union définitive au Ciel.


Au-delà des raisons d'y croire :

Luis Eduardo Cadena y Almeida, A Spanish Mystic in Quito :Sor Mariana de Jesus Torres, Éditions « Foundation for a Christian Civilization », New York, 1990.


Aller plus loin :

  • Manuel Sousa Pereira, The Admirable Life of Mother Mariana, translated by Marian Therese Horvat, Los Angeles, Tradition in Action, en 2 volumes. L’édition originale du titre (en espagnol) date de 1790.
  • Luis Eduardo Cadena y Almeida, Madera para esculpir la imagen de una santa, o, Rasgos biograficos, revelaciones, profecias, confidencias con la Santisima Virgen de el Buen Suceso, de la venerable madre Mariana Francisca de Jesus Torres y Berriochoa, religiosa concepcionista, fundadora del Monasterio Real de la Limpia Concepcion de la ciudad de San Francisco de Quito, Éditions « Foundation for a Christian Civilization », San Francisco de Quito (Ecuador) et Bedford, New York, 1987. L’auteur est le postulateur de la cause de mère Mariana.
  • Marian Therese Horvat, Stories and Miracles of Our Lady of Good Success, Los Angeles, Tradition in Action, 2002.
  •  Marian Therese Horvat, Our Lady of Good Success, Propheties for our Times, Los Angeles, Tradition in Action, 2020. Ce livre se veut une suite du précédent.
  • Augustin Berthe, CSsR, Gabriel Garcia Moreno, le héros martyr, Paris, Clovis, 2016. Le père Berthe fut quelque temps secrétaire du président Moreno. Il s’agit de la réédition de l’édition abrégée de 1890.
  • Une vidéo présente en français la vie de mère Mariana Torres.
  • Sur le site Internet de langue anglaise Salve Maria Regina, on peut consulter le bulletin no 155 (vol. 49, hiver 2009), à la rubrique « Marian Shrines and Apparitions » : « Our Lady of Good Success ».
  • Sur le site Prophéties pour Notre Temps, l’article « Mariana de Jesus Torres (1565 – 1635) : "attaque de l’Église" ».

En savoir plus :

Docteur en philosophie, Vincent-Marie Thomas est prêtre.

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