Guérison miraculeuse grâce à un message du Christ

Synthèse :

Je m’appelle Jean-Louis Alary, je suis notaire à Albi (Tarn, France). Au cours de l’année 2000, en allant à Aurillac pour un conseil d’administration d’Europrisme, dont il était administrateur, Jean-Claude Antakli me fait part de l’aboutissement de la rédaction de son livre Itinéraire d’un chrétien d’Orient et des événements qu’il y relate, notamment ceux concernant Myrna, de Soufanieh. Je suis intéressé, un peu dubitatif, mais, compte tenu de la confiance et de l’amitié que je lui porte, je garde tout cela en moi.

À la fin du voyage, Jean-Claude me remet une copie du manuscrit de son livre, me demandant de le lire et de lui faire part de mes impressions. Mais les mois passent et je ne trouve pas le temps. Le 19 janvier 2001, vers 21 heures, je suis victime d’un infarctus dit « massif ». Mes heures sont comptées et je dois la vie à un cardiologue iranien qui a tenté le tout pour le tout pour me sauver, en me précisant qu’il est vital pour moi désormais de ne pas contracter la moindre infection, car les conséquences pourraient être fatales… Six mois après, le 21 juillet 2001, à moto, je suis renversé par une voiture et blessé à l’épaule droite. La tête de l’humérus a explosé, il faut l’enlever et poser une prothèse.

À la clinique de l’Union, à Toulouse, mon cas pose bien des soucis au chirurgien, qui craint que je ne supporte pas cette intervention. Dans ma valise, préparée en urgence, mon épouse a mis le manuscrit de Jean-Claude Antakli ! Pourquoi ? Elle l’ignore encore aujourd’hui… L’intervention se déroule bien, mais je souffre énormément. La lecture du manuscrit me procure un peu de repos et de sérénité, et le chirurgien décide que je pourrai sortir le 1er août 2001. Le 30 juillet, il arrive très tôt dans ma chambre et, d’un ton très grave et ennuyé, m’indique qu’au vu de mes résultats sanguins, je suis en train de développer une infection (CRP 167 mg/l – la norme étant inférieure à 10 mg/l) qui pourrait avoir des conséquences fatales compte tenu de mon état de santé. À bout de forces mentales et las de douleur, je m’effondre et pleure. J’ai même alors envisagé, je l’avoue, de sauter par la fenêtre pour en finir.

À cette époque, bien que croyant, je ne pratiquais que très épisodiquement et ne priais que très rarement. En pleine crise de larmes, je fais tomber le manuscrit et le ramasse, ouvert à la page relatant le message du Christ à Myrna, en date du 15 août 1987, sur la Vierge Marie : « Ma Fille, c’est bien elle, ma Mère, dont je suis né. Qui l’honore m’honore. Qui la renie me renie. Tout ce qui lui sera demandé sera exaucé, parce qu’elle est ma Mère. »

Toute la journée et la nuit suivante, en oraison, je dis et redis sans cesse les mots du Christ au sujet de Marie. J’ai prié et obtenu le don de la vie.En effet, le 31 juillet 2001 au matin, le chirurgien, lors de sa visite, consulte mes nouveaux résultats d’analyses et constate qu’il n’y a quasiment plus trace de l’infection. Il se met alors à traiter d’incapables les personnes du laboratoire, qu’il appelle devant moi, et, après les avoir copieusement sermonnées, demande que de nouveaux prélèvements sanguins et des analyses soient effectués en urgence.Le 1er août, force est de constater la quasi-disparition de l’infection, et je sors dans l’après-midi. Le chirurgien me dit ne rien comprendre, que c’est irrationnel et qu’il n’a jamais vu cela !Je ne lui réponds rien, sauf : « Docteur, un jour, je vous raconterai mon histoire… »

Quelques mois après, lors d’une consultation de contrôle, je lui raconte toute « mon histoire ». Il reste muet et grave, me regarde dans les yeux et, un long moment après, son visage s’illumine. Il me dit : « Je suis un scientifique, on va dire que c’est la force de votre esprit… ou plutôt celle de l’Esprit. »

Qu’a-t-il réellement voulu me dire par « celle de l’Esprit » ? Son regard et son sourire pleins d’émotion m’ont convaincu qu’il pensait à l’Esprit divin ! Depuis le 31 juillet 2001, les paroles du Christ à sa Mère sont devenues pour moi une prière quotidienne.

Début 2015, Jean-Claude Antakli et son épouse organisent la venue de Myrna dans la région d’Albi et de Toulouse, et m’invitent à la rencontrer. À Rivières (Tarn), avec une très grande émotion, j’ai pris dans mes mains celles de Myrna et l’ai remerciée d’avoir été « le facteur du Christ » pour faire parvenir jusqu’à moi ces mots miraculeux de Damas.

Un mois après ces heures et jours extraordinaires de grâce et de communion avec Myrna, je rencontre mon amie Marie F., qui me confie que le lendemain de la bénédiction de son chapelet par Myrna, lors de la soirée à Rivières, elle s’était isolée dans sa chambre pour prier pour la Syrie, comme Myrna l’avait demandé. En prenant son chapelet dans la poche de son manteau, à sa grande surprise et, sur le moment, avec un peu de répulsion, elle le découvre humide et gras. Il était, comme ses mains, abondamment recouvert d’huile !

Au-delà des raisons d'y croire :

Les grâces mystiques dont bénéficient Myrna Nazzour depuis 1982 sont nombreuses et variées (suintements d’huile, guérisons, apparition de Jésus et de la Vierge Marie, stigmates, extases). Différents articles 1000 raisons de croire racontent le contexte dans lequel elles sont survenues et les messages spirituels qu’elles détiennent.

Aller plus loin :

Jean-Claude et Geneviève Antakli, Itinéraire de Myrna en France, Éditions du Parvis, 2017.

En savoir plus :

• Jean-Claude Antakli, Itinéraire d’un chrétien d’Orient, éd. Guibert, 2003.
• Jean-Claude et Geneviève Antakli, Dieu existe. Ses merveilles étincellent sous nos yeux, Éditions du Parvis, 2020.